Il y a dans cette pièce toutes les recettes qui ont fait rire des milliers de personnes depuis des lustres.
L’histoire de cet ambassadeur de l’ONU qui se trouve pris entre une affaire diplomatique et une autre de relation féminine dangereuse ne peut amener que des situations comique et burlesque où règne le quiproquo.
Des personnages que l’on pourrait imaginer être ceux d’une pièce de Feydeau ou d’un vaudeville classique mais qui ont été créés par Lewis Rickman et Karl Tiedeman des auteurs anglo-saxons non dénués de cet humour potache propre au théâtre de boulevard français.
Deux heures de spectacles où les scènes se succèdent à vive allure où les situations comiques tombent les unes après les autres, deux heures de jeu scénique très enlevé qui ont permis aux spectateurs présents de passer une bonne soirée et d’en sortir avec les zygomatiques épuisés.
Deux heures de spectacles où les scènes se succèdent à vive allure où les situations comiques tombent les unes après les autres, deux heures de jeu scénique très enlevé qui ont permis aux spectateurs présents de passer une bonne soirée et d’en sortir avec les zygomatiques épuisés.