Dimanche, une trentaine des 37 membres de la Parodienne s’est retrouvée autour de Monique François pour l’assemblée générale. Ambiance théâtre, installée sur la scène des locaux rue Berlioz, la présidente a exprimé ses souhaits pour l’année à venir.
La troupe forme une grande famille depuis sa création, il y a 70 ans par André Ravaud.
Nous
avons, cette saison, présenté deux pièces très différentes lors d’une
même soirée. Chacune a connu son succès, sans surprise pour Dormez je le
veux , avec étonnement pour Lettres Croisées. Ces pièces ont permis un
rapprochement certain entre l’école de théâtre et le groupe des adultes…
et donc de rapprocher deux mondes très éloignés.
Cette bouffée de jeunesse nous a fait beaucoup de bien.
Quels sont vos souhaits ?
Cette
expérience nous amène à mettre en place une cohérence de travail autour
des ados. Les jeunes intégreraient La Parodienne, et non l’école de
théâtre qui accueille 38 enfants. Nous sommes très satisfaits de nos
échanges lors de la rencontre avec d’autres troupes à l’occasion de
l’assemblée régionale.
Sur 40 associations bourguignonnes, la Saône-et-Loire en compte 21.
Quelle sera la nouvelle programmation de la saison ?
Plusieurs
projets sont à l’étude, dont deux sont déjà lancés ou sur le point de
l’être : Larguez les amarres de Jean-Claude Martineau sera mis en scène
par Maguy Brunet et La demande en mariage de Tchekov, que je mettrai en
scène pour une présentation en Allemagne, en avril 2016, avec Dormez je
le veux.
Petits crimes conjugaux d’Éric-Emmanuel Schmitt. Un travail conjoint adolecents-adultes est aussi à l’étude.
Présidente de l’association de théâtre La Parodienne, à Paray-le-Monial